Après avoir eu recours à un élargissement du point G, Caroline Cursworth déclare que sa vie sexuelle n'a jamais été aussi épanouie.
Point Gros
L’émancipation et la désinhibition du plaisir sexuel au détriment de l’habituel masculin prennent depuis quelques années des proportions telles, que cette nouvelle « tendance » s’apparente parfois à une course à l’échalote. A l’instar de Caroline Cushworth, certaines de nos congénères font désormais appel à la chirurgie, dans cette quête orgasmique jusqu’au-boutiste. Cette quadragénaire anglaise n’aurait en effet rien de particulier, si elle n’avait pas été la première Britannique à avoir eu recours à un gonflement du point G moyennant la modique somme de 800 livres.
Cette pratique consiste à injecter du collagène dans la fameuse partie sensible du vagin, eldorado de chaque entité masculine normalement constituée. Depuis cette première, Caroline assure qu’elle n’avait rien connu de tel jusqu’à aujourd’hui : « J’ai constamment des orgasmes à répétition ». A utiliser avec précaution, donc.
Par Matthieu Rostac
Paru le 08 juillet 2008