N’est pas né celui qui arrivera à réaliser une double pénétration dans un film de Digital Playground. Explication avec Katsuni.
Comme toutes les grandes maisons de production, Digital Playground obéit à une charte qui lui sert d’aiguillon. Entre autres règles, la double pénétration est sévèrement proscrite de tous ses films. « Il n’y a jamais de double pénétration, assure Katsuni, l’une des contract girls de la maison. Ce n’est pas une pratique shootée par la compagnie. » Loin d’être en liberté surveillée, le hardcore made in Digital Playground est bien au niveau de l’excellence proverbiale du producteur américain.
Ainsi, dans ses dernières productions tournées cet été (« je n’en connais pas encore les titres », précise la Française), « on a décidé de mettre les bouchées doubles. Je n’ai fait que des scènes avec deux partenaires, souvent deux hommes. Des séquences cochonnes et bien filmées. J'ai alterné les rôles de jeune femme soumise, voire passive, timide... avec des rôles plus forts et plus dominants ». Au fond, c’est peut-être cela la définition du hardcore de Digital Playground.